Esteban : notre cover boy du mois se confie

En couverture de notre numéro, nous vous proposons de découvrir Esteban, un joli Argentin, performer, installé dans notre capitale depuis 2 ans.

Photographié par Karl Galim, nous avons eu le plaisir de découvrir un garçon très frais et dynamique, plein de projets et particulièrement charmeur lorsqu’il sourit

Esteban, peux-tu te présenter à nos lecteurs ? D’où viens-tu et quel a été ton parcours avant d’être ici ?

Bonjour chers lecteurs, je m’appelle Esteban, j’ai 24 ans et je suis originaire de la ville du Tango en Argentine. J’ai quitté mon pays à 19 ans, j’ai beaucoup voyagé ; je suis partis à l’aventure pour découvrir l’Europe (L’Espagne, Londres,…) et nalement j’ai posé mes bagages à Paris.

Comment est la vie gay dans ton pays ? En particulier au niveau des droits LGBT ?
La vie gay est très active surtout à Buenos aires, il y a pas mal d’établissements et bien sur des jolis garçons,… comme moi. Bien que le pays ne soit pas économiquement stable, on a su bien évoluer sur les droits LGBT, nous avons été l’un des premiers pays à légaliser le mariage pour tous d’ailleurs.

Tu es sur Paris depuis 2 ans, pourquoi avoir choisi notre ville et qu’y fais-tu ? Pourquoi suis-je dans la ville de l’amour, de la lumière et de la mode ?

C’est Simple ! Parce que je suis célibataire, je ne suis pas très brillant et je n’ai pas trop de goût vestimentaire ahaha je plaisante. Mais il y a toujours cette magie qui fait que je suis encore amoureux de cette ville comme dès le 1er jour.

Je suis performer pour diverses soirées en night clubs, bars et festivals depuis quelques années.

Comment as tu débuté en tant que performer? Et qu’est-ce qui te rend si spécial ?
C’était assez inattendu, j’étais à la gym quand on m’a abordé pour me proposer de danser pour une soirée en Belgique. J’ai cru qu’il s’agissait d’un mytho pourme draguer, en fait c’était sérieux et professionnel.

Tous les danseurs travaillent dur dans ce milieu, le physique est très important, mais mon sourire est mon atout. Perso, je trouve dommage que les autres gogos ne jouent pas plus avec leur visage. Si tu veux que le public s’amuse, c’est à toi de transmettre le message.

Peux-tu nous parler plus particulièrement de ce que tu fais pour la Délice Dream ?

Avec plaisir, je fais partie de l’équipe Délice en tant que performer et je travaille aussi à la communication. On organise beaucoup de soirées « pré-party » dans toute la France et dans certains pays d’Europe ; qui sont les tremplins pour le Festival Délice Dream (à Sitgès du 4 au 10 mai)