Franck Isnard fait partie de l’équipe de Qweek depuis la création du magazine, en 2001. En cause, il a donc été témoin de toutes les évolutions qui ont marqué ce titre de presse. Actuellement chargé des partenariats commerciaux de Qweek et Garçon Magazine, ce pro de la négociation nous raconte son histoire merveilleuse au sein du média.
Comment as-tu intégré l’équipe de Qweek ?
Les annonceurs me connaissent comme Franck de Qweek. Depuis 2005, je gère une petite société dédiée à ce fameux magazine au format carré, qui a beaucoup évolué depuis le début. Après une pause dans les années 2010, Christophe Soret et moimême, nous sommes rapprochés. Dès lors, nous avons toujours eu de bonnes relations, m’amenant ainsi à travailler pour Qweek à temps partiel (car je fais d’autres choses à côté).
Quel est ton rôle au sein du média ?
Actuellement, je développe des partenariats commerciaux incluant de la publicité et des publirédactionnels que j’écris pour aider les annonceurs à développer leurs entreprises.
Qweek, tel que nous le connaissons, existe depuis six ans. Pourtant, il a eu d’autres titres avant ça. Pourrais-tu donc nous en dire plus sur son histoire ?
À l’époque (en 1998, NDLR), il s’appelait e.m@le et l’ancienne équipe de la radio Fréquence Gaie (prédécesseur de Radio FG) le gérait. Puis, il a été repris par le groupe Gai Pied qui m’a embauché et qui a gardé le nom du magazine, déjà mythique avec son nom ludique et son format carré original. Mais, malheureusement, il n’a pas eu le succès escompté, à cause de sa fréquence de parution hebdomadaire.
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Peu avant 2000, Jean-François Fort a repris tout le concept et une grande partie de l’équipe, moi, y compris. Pendant plus de 10 ans, le magazine a connu son âge d’or, il sortait alors toutes les deux semaines. Ceci dit, le média a changé de nom plusieurs fois passant par e.m@le, [2X] (prononcé « touixe ») puis Qweek. Avec le temps, je eu le poste de directeur commercial, chargé de la partie pub du magazine, ainsi que l’écriture de l’agenda des soirées et des publirédactionnels.
Assisteras-tu à la célébration prévue le 21 juin et y tiendras-tu un discours ?
Je serai présent, mais les discours ne sont pas du tout mon point fort. Je ferai donc ce que j’ai toujours aimé faire, soit me mettre en relation avec ceux qui m’ont fait confiance depuis plus de 20 ans, nos partenaires