ET PUIS NOUS DANSERONS de Levan Alkin a été réalisé dans le plus grand secret. En interview, le réalisateur explique avoir reçu des menaces de mort et que des gardes du corps entouraient l’équipe de tournage. Avec Et puis nous danserons, le réalisateur signe un coup de grâce !
Un article de Damien Guignard
« La scène finale est une raison à elle seule de voir le film ! »
Merab est un jeune homme travailleur, enchaînant les services dans un restaurant, aidant sa mère et sa grand-mère chez qui il vit, prenant des cours de danse dans une grande école depuis sa plus tendre enfance. Il n’a qu’un rêve : devenir danseur professionnel ! Sa passion pour la danse traditionnelle géorgienne est immense. Chaque jour, il s’entraîne dur avec sa partenaire et amie Mary.
Un jour, un nouvel arrivant, Irakli, fait son entré dans les cours. Problème : il danse mieux que lui ! Il se tient plus droit, il est plus solide et surtout, il est plus masculin – chose que son professeur lui reproche souvent, ce manque de virilité. Pour pallier cette différence de niveau, Mareb va venir s’entraîner seul dès qu’il le pourra. Sauf qu’il va vite s’apercevoir qu’Irakli fait de même. Ensemble, ils vont progresser, ils vont nouer une amitié où l’adversité ne sera plus un problème. Entre conseils échangés et moments partagés, les deux jeunes hommes deviennent inséparables et s’inscrivent à une audition pour entrer dans le prestigieux Ballet National de Géorgie.
Si vous aimez un tant soit peu la danse, regardez ce film ! Ce long métrage est rythmé par des musiques ancestrales au tambour, des chants traditionnels, des chansons très actuelles et résolument pop. La scène finale est une raison à elle seule de voir le film ! Les frissons que j’ai ressenti à ce moment-là ne mentent pas !
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Sortie en salle : 06/11/2019
